Oui. La loi prévoit que lorsque le vendeur n’a pas cédé son bien dans le délai de 3 ans suivant la renonciation du bénéficiaire à exercer son droit de préemption, la commune bénéficie à nouveau de ce droit (art. L213-8 alinéa 2 C. urba.).
Oui. La loi prévoit que lorsque le vendeur n’a pas cédé son bien dans le délai de 3 ans suivant la renonciation du bénéficiaire à exercer son droit de préemption, la commune bénéficie à nouveau de ce droit (art. L213-8 alinéa 2 C. urba.).